Madame la présidente, madame la ministre, madame la présidente de la commission des affaires sociales, madame la rapporteure, mes chers collègues, l'intérêt des enfants est pour nous tous une priorité, quel que soit leur statut.
Cela est particulièrement vrai s'agissant d'enfants en position de fragilité et suivis par les services de l'aide sociale à l'enfance.
Dans nos départements, nous connaissons tous des cas difficiles. Nous connaissons l'inquiétude des enfants ballottés çà et là, réclamés par les uns ou les autres, ou pire, quelquefois, par personne.
Nous connaissons aussi, à l'inverse, des personnes généreuses…