Je rappelle qu'au moment de la préparation des accords de Lancaster House, un autre processus était en cours au niveau européen qui s'était heurté à la question de l'état-major commun, blocage qui n'a pas été dépassé. Si on cherche à définir une stratégie définissant les risques, les menaces et les moyens pour y répondre, la même situation va se reproduire. D'où ma volonté de construire l'Europe de la défense par des actions concrètes.