Elles ne sont plus aptes, en raison de leur état de santé – troubles musculosquelettiques et, aujourd'hui, multiples dépressions.
Nous avons à coeur d'avancer sur ces sujets-là, mais le contexte budgétaire fait que nous manquons de moyens. L'accord sur la pénibilité que nous avons signé aujourd'hui pourrait se traduire par des actions permettant au salarié de partir un peu plus tôt à la retraite, avec une compensation de l'employeur sur la base de cotisations. Or ce n'est pas possible, car les structures ne sont pas capables de l'assumer financièrement. Nous sommes vraiment en contradiction avec nos convictions.