Nous ne restons pas passifs devant le problème du report de charges. Il ne concerne d'ailleurs pas le seul programme 146 mais aussi, par exemple, les programmes 178 et 212. Motivés par le souci constant de maîtriser ce report et de ne pas le laisser dériver année après année, la DGA et l'état-major des armées gèrent le programme 146 en effectuant des arbitrages sur les commandes.