Vous prenez position en faveur des salles de consommation à moindre risque, dites « salles de shoot », et montrez que la stigmatisation des usagers et le tout répressif à l'encontre des pratiques addictives sont inutiles et même contre-productives pour la santé publique, dans la mesure où ils favorisent la prise de risque des usagers et la survenue des maladies. Pourtant, l'annonce de l'ouverture d'une salle de ce type dans le Xe arrondissement de Paris a suscité beaucoup de réticences. Quelles mesures préconisez-vous pour convaincre l'opinion publique que ces salles sont bénéfiques aux usagers et à la société dans son ensemble ?