L'esprit de la « loi HPST » de 2009 était de définir des sites pour l'oenotourisme, les producteurs et les marchands en ligne, car nous étions confrontés à des intégristes de l'administration sanitaire qui voulaient tout interdire. Je ne subis pas la pression des lobbies du Midi rouge. Mais, selon un rapport de l'Agence française de l'ingénierie touristique (AFIT) – organisme objectif et indépendant des lobbies –, un touriste sur deux vient dans ma région pour la qualité de son vin.
Par ailleurs, comment demander aux industriels du tabac ou de l'alcool de participer au financement des structures préventives, associatives ou publiques, sans en être partenaires ?
Enfin, s'agissant des « salles de shoot », on connaît l'effet délétère des drogues sur les jeunes : comment dès lors opérer une dépénalisation dans ce domaine ?