Je voudrais rappeler à nos collègues qui n'étaient pas présents lors de l'examen de la « loi HPST » les deux amendements qui nous avaient été présentés : le premier tendait à interdire toute publicité d'alcool sur Internet, sauf sur les sites dédiés cités par le professeur Reynaud ; le second – qui a été finalement adopté, par des députés de droite comme de gauche – autorisait la publicité pour l'alcool sauf pour les sites dédiés à la jeunesse et aux sports. Or le premier encadrait davantage la publicité dans ce domaine.