Nous nous interrogeons depuis plusieurs années sur la consommation excessive de certains produits et les effets des addictions. Or les campagnes d'information ont montré leurs limites.
S'agissant des interventions précoces, notamment auprès des jeunes, quelles seraient les actions prioritaires à mener ? À partir de quel âge ? Qu'en est-il s'agissant des étudiants, qui peuvent rencontrer des difficultés particulières ?
Pour réduire les consommations, il faut bien sûr éduquer et accompagner, mais aussi responsabiliser les personnes : comment améliorer l'action dans ce domaine, que ce soit auprès des publics vulnérables ou du grand public ?
À cet égard, le secteur viticole doit notamment être pris en considération : avez-vous recueilli l'avis des producteurs ou des associations travaillant sur ces questions ?