Ce coup de force a été organisé avec le soutien du Gouvernement.
Vouloir régler ces problèmes, qui sont des problèmes humains, contre la plupart des 210 maires – même si ce n'est pas l'unanimité, j'en conviens, monsieur Le Bouillonnec –, quelle arrogance ! Les problèmes ne font que commencer pour vous et le Gouvernement.
Chaque matin, à huit heures trente, au sein du bureau exécutif de Paris Métropole, depuis près d'un an, nous mettons nos positions partisanes de côté.