La difficulté que nous rencontrons avec les autres pays européens est que nous ne disposons pas des mêmes circuits de décisions et des mêmes règles d'engagement de nos forces. La solidarité financière et matérielle est en revanche effective, même si l'exemple cité par M. Vitel est problématique.
Le rôle des forces qui resteront après l'élection présidentielle est clair : il s'agira d'une mission d'appui à la MINUSMA, pour occuper physiquement le terrain et être capable de faire face à des imprévus.