Les forces spéciales ont effectué un magnifique travail ; elles sont intervenues dès le premier jour, et en ont payé le prix, le premier tué à l'ennemi provenant de leurs rangs. Il est indispensable qu'elles continuent à bénéficier d'un statut particulier. Il existe sans doute des marges de progression en termes de coordination avec l'action des autres composantes. S'agissant des frontières du Mali, elles s'expliquent largement par l'héritage de la décolonisation et il ne nous appartient pas d'y porter atteinte.