Je ne comprends pas. Le traitement d'une friche commerciale ne s'imposerait donc que dans les territoires qui ne sont pas dotés d'un SCoT ? La Commission du développement durable devrait au contraire défendre une généralisation de cette bonne mesure. L'obligation faite à tous les exploitants de remettre en état un site qui cesse d'être exploité – SCoT ou pas ! – permettrait peut-être de contenir les ambitions de la grande distribution, qui cherche à ouvrir partout des surfaces commerciales.