C'est parce qu'il n'y a que trois cas particuliers que le Gouvernement insiste pour que ce pouvoir reste au préfet de police.
On pourrait revenir à la solution proposée par M. Boudié en précisant par décret que l'on peut déterminer les voies essentielles qui dérogent au principe que vous avez posé.
La solution du décret semble tout indiquée pour régler le problème que vous avez soulevé.