Ce que vous prônez est donc, selon votre propre expression, la « révolution conjugale ». On en est encore loin.
Madame Périvier, vous préconisez de réduire le congé parental et de scolariser plus tôt les enfants, en faisant en sorte qu'ils soient accueillis dans les écoles entre deux et trois ans. Pourriez-vous préciser votre vision de l'accueil des jeunes enfants, notamment dans cette tranche d'âge ? Vous avez en effet souligné justement que cet accueil dépend de l'investissement des collectivités locales et des partenaires privés, car la création d'une structure est coûteuse et son fonctionnement est souvent déficitaire. Comment encourager les collectivités à mettre en place ce mode de garde ?