Cet amendement vise à élargir le champ d'intervention de la commission départementale de la consommation des espaces agricoles (CDCEA) aux zones naturelles et forestières. La disparition des terres due à leur artificialisation est un phénomène grave et il nous faut affirmer clairement que, comme l'eau, la terre doit être considérée comme un bien commun, rare et précieux pour l'avenir de l'humanité et pour notre alimentation.