J'entends ces remarques, mais je maintiens l'amendement, car la question de l'énergie reste trop négligée par nos politiques territoriales alors qu'elle va devenir de plus en plus importante.
D'ailleurs, la répartition décrite par le rapporteur est battue en brèche par nos collègues de la commission des affaires économiques qui, dans le cadre de l'examen du projet de loi sur les métropoles, ont déposé, au nom d'une certaine logique jacobine, des amendements tendant pratiquement à éviter que les échelons territoriaux autres que l'État ne prennent en compte la question de l'énergie. J'ai entendu dans l'hémicycle, à ce sujet, un propos très intéressant de notre président.