Les islamistes donnent aux femmes des responsabilités officielles, par exemple en Tunisie, où nous avons rencontré la vice-présidente de l'Assemblée nationale constituante, ou en Iran ; en revanche, la régression paraît manifeste dans la vie personnelle et familiale. Confirmez-vous cette dichotomie entre la vitrine de la vie publique et professionnelle et la mise sous tutelle dans la sphère privée et familiale ?