Le projet de loi introduit une distorsion de concurrence et une inégalité de traitement tout à fait injustes entre les professionnels de l'immobilier d'une part, et les autres professionnels s'adonnant à des activités immobilières d'autre part – qu'il s'agisse des notaires, des avocats ou des marchands de listes –, en ne faisant peser que sur les seuls agents immobiliers une obligation de transparence sur le montant des honoraires qu'ils appliquent.