Malheureusement, même amendé, ce texte n'est pas sauvable, car ses bases sont mauvaises : il convient donc de supprimer cet article 1er, qui n'est qu'une usine à gaz technocratique. Je me demande franchement, monsieur Brottes, comment vous avez pu vous embarquer sur une telle galère !
Plus spécifiquement, la création d'une tarification progressive pose plus de questions qu'elle n'apporte de solutions ; j'aurai l'occasion de m'exprimer plus longuement sur ce sujet lors de l'examen des amendements.