D’autant que ce n’est pas la première fois qu’un ministre ne prend pas la peine de répondre à une motion : cela s’était déjà produit avec Vincent Peillon lors de la discussion du projet de loi sur la refondation de l’école.
Voilà pour la forme. Sur le fond, Philippe Gosselin a décliné des arguments, avec lesquels on peut être d’accord ou non, mais qui attendaient des réponses. Nous ne les avons pas eues hier soir ; souhaitons pour aujourd’hui que nos débats permettent un véritable échange et non ce mur de silence. (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)