Les amendements de suppression que vous avez défendus, mesdames et messieurs les députés de l’opposition, ont mis en évidence plusieurs réflexions. J’aimerais d’abord répondre à celles que nous entendues hier sur l’absence de la présidente de la commission des affaires sociales. Dans la mesure où celle-ci était représentée par le vice-président de la commission, ces réflexions étaient donc totalement déplacées : Jean-Patrick Gille était tout à fait habilité à remplacer Mme Lemorton.