Il est prévu de laisser le choix aux couples concernés : ou bien confier l’embryon surnuméraire à un autre couple, ou bien faire procéder à la destruction de l’embryon ou bien donner leur consentement en vue de la réalisation de recherches sur l’embryon. Ils disposent ensuite d’un délai de trois mois pour réfléchir et confirmer éventuellement leur décision. Contrairement à ce que vous affirmez, il n’y a donc aucun refus des dispositions prévues par la convention d’Oviedo.