On m’a mis en cause parce que j’ai déposé un sous-amendement qui visait à progresser vers une solution consensuelle, comme nous le faisions lors de la précédente législature avec le président Claeys – toujours absent, et qui n’agrée donc pas la méthode utilisée aujourd’hui –, et avec Jean Leonetti. Ce sous-amendement a eu un immense mérite : il a démontré que les propos de notre ministre étaient terriblement hypocrites. Mme la ministre disait qu’on limiterait ce nouveau dispositif à la recherche fondamentale : c’est faux, puisqu’elle a repoussé le sous-amendement ! Elle disait qu’on le réserverait à la maîtrise d’ouvrage publique : c’est faux !
Pour toutes ces raisons, il faut revenir à un débat plus serein, où chacun puisse s’exprimer. Nous avons le temps, monsieur le président ! Nous pouvons siéger demain et après-demain.