… mais une société qui, dans un encadrement très strict, n’a qu’un souci : le bien-être des personnes. Il faut faire en sorte que les personnes qui aujourd’hui ont des maladies incurables, ainsi que les familles qui doivent les soutenir, puissent bénéficier des progrès de la science d’une façon tout à fait encadrée. Et le signe que nous donnons est tout à fait différent.
Si nous sommes passés de la cinquième à la septième, puis à la dix-septième place au niveau mondial dans le domaine de la recherche sur les cellules souches embryonnaires, c’est bien parce que nous avons émis des signes de défiance croissants depuis dix ans et que nous avons stigmatisé les chercheurs.