Nous avons marqué un désaccord sur la proposition du président. Afin de rester en capacité de nous écouter dans la sérénité, voire la bonne humeur – mais n'en demandons pas trop ! –, nous pourrions travailler encore une vingtaine de minutes, jusqu'à deux heures et demie, sans que cela porte préjudice ni votre fatigue ni à notre volonté d'avancer. Je comprends, dès lors qu'on est contre un texte, qu'on n'ait pas spécialement envie qu'il avance. C'est le jeu normal de l'opposition. Qu'en dites-vous, madame la présidente ?