Tout d’abord, nous n’avons pas forcément tout à gagner d’une conclusion de cet accord, surtout si l’on prend en compte le fait que les Américains peuvent jouer sur le cours de leur monnaie alors que la nôtre est surévaluée. Je vous rappelle que le commerce mondial croît de 7 % par an.
Ensuite, la Commission doit être tenue à bride courte, car les exemples ont montré dans le passé qu’elle prenait des libertés par rapport à son mandat.
Enfin, la France ne doit pas hésiter, je le dis et je le répète, à utiliser son droit de veto. Seul l’esclave, madame la ministre, dit toujours oui.