Monsieur le ministre, je me permets d’insister sur les grandes interrogations suscitées par ce projet extrêmement sensible. En tout état de cause, si le projet devait être autorisé, des procédures de suivi très strictes, prévoyant l’arrêt immédiat de l’exploitation en cas de besoin, devraient être prévues. La région géographique concernée constitue une zone sensible, et c’est l’image de marque de la Bretagne qui est en jeu.