C'est le statut du conjoint collaborateur qui est posé, celui des femmes d'agriculteurs et d'artisans qui, après avoir travaillé aux côtés de leur époux sans être déclarées, se trouvent dans une situation très difficile au moment de la retraite, surtout si leur situation familiale a changé.
En 2011, 365 000 cas de cancer ont été diagnostiqués, soit 1 000 par jour. Alors que les Françaises sont incitées à se faire dépister, certains pays, comme le Danemark, la Suède, le Canada, changent leur communication à ce sujet. Quel est l'état des connaissances des pouvoirs publics français sur le plan du bénéficerisque ? En outre, quels sont les effets secondaires de la vaccination contre le cancer du col de l'utérus ? Il est en effet très important pour les femmes d'être parfaitement informées en la matière.
Le 05/07/2013 à 17:46, ABSIN a dit :
J'ai été collaborateur de mon ex-époux, paysagiste, durant onze années. Je travaillais au bureau où j'assurais tout le fonctionnement administratif et comptable de l'entreprise. Des cotisations ont été versées seulement pour le chef d'entreprise car les cotisations pesaient sur le budget. Un divorce est survenu, me laissant avec trois enfants et reprendre un travail en entreprise. Au moment de ma retraite, j'ai perdu le bénéfice d'une retraite pour ces onze années. Actuellement ma retraite modeste ne me permet pas de faire face à une vie paisible. La politique sociale actuelle ne nous aide pas, je n'ai droit à aucune aide logement, je subis le tarif de la mutuelle santé, pour avoir des droits je suis juste au-dessus des plafonds ce qui fait que je n'ai droit à rien. La vie est difficile, tout est cher. Mon ex-époux a pû profiter de mon travail pour créer son secrétariat et s'est enrichi, moi ayant perdu ces années je me considère pauvre. Qu'a fait la justice pour palier à cette perte de revenus au moment de la retraite malgré le travail intensif que nous avons donné.
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