J'étais rapporteur général à l'époque dont vous parlez, mon cher collègue. M. Lefas l'a expliqué, les administrations avançaient dès alors le chiffre de 4 milliards d'euros. Tel est le charme de la dépense fiscale, que l'on sous-estime volontiers a priori pour mieux inciter à l'incitation ! Ce phénomène touche bien d'autres secteurs, dont certains font d'ailleurs l'objet de discussions en ce moment.