Je suis de ceux qui pensent que l'action militaire, même ciblée, – et qui pose des questions légitimes – a eu un effet positif de pression sur l'action politique et diplomatique en cours depuis quelques jours. Dans le cadre de la conférence Genève 2, peut-on imaginer d'intégrer l'un des grands acteurs régionaux qui semblait exclu jusqu'à présent, l'Iran ?