Depuis le début du conflit, aucun des accords internationaux relatifs à la protection du personnel médical et à la sanctuarisation des structures de soins n'est respecté. Je souhaite que ce message soit porté avec vivacité par la France et la communauté internationale. Toutes les ONG, qu'elles soient syriennes ou étrangères, ont beaucoup de mal à soigner les blessés. Pourtant, en toutes circonstances et en tous lieux, chaque individu a le droit de recevoir une aide médicale.