La précédente LPM a été globalement respectée dans les premières années, puis l'écart s'est creusé entre les prévisions et les réalisations. La Cour des comptes montre que cet écart s'explique en partie par les conséquences de la crise. Dans la construction de la prochaine LPM, il nous faut donc tirer toutes les leçons du passé. La précédente était-elle ab initio irréaliste ?