Constater qu'entre 2009 et 2013, la masse salariale a continué de progresser alors que l'on supprimait 40 000 postes montre un dysfonctionnement grave dans le contrôle de ces dépenses. Il en va de même des recettes exceptionnelles : elles n'ont pas été suivies, ni contrôlées avec suffisamment de sérieux – tout gestionnaire d'une collectivité locale ne peut qu'être choqué de cette légèreté.
S'agissant de la dissuasion, compte tenu de son coût certain, je crois qu'il serait utile, dans le long terme, de réfléchir à un désarmement multilatéral.