La répartition des compétences entre les commissions permanentes, qui ne date pas de cette législature d'ailleurs, conduit la commission des affaires économiques à entendre, par exemple, M. Frédéric Cuvillier sur les seuls sujets relatifs à la pêche et non ceux relatifs aux transports qui relèvent de la compétence de la commission du développement durable. De même, quand M. Philippe Martin est auditionné par notre commission, il s'exprime, non sur la biodiversité, mais sur l'énergie ou les télécommunications.