Dans le projet de LPM, seulement 4 articles sur 36 concernent la défense et la plupart, de caractère normatif, intéressent davantage la commission des Lois. Jamais on est allé aussi loin dans la cyberdéfense – ce qui va dans le bon sens –, et on retrouve en matière de renseignement une grande partie du rapport de nos collègues Jean-Jacques Urvoas et Patrice Verchère que vous évoquiez.
Comment voyez-vous le partage des responsabilités en matière de cybersécurité entre l'État et les industriels ?