Cette différence de traitement, monsieur de Courson, est justifiée par le fait que l'IRFM est fixée par la loi. Son montant, qui évolue comme les rémunérations publiques, a été établi à partir des frais réels généralement engagés par les parlementaires. Il ne s'agit donc pas d'un système déclaratif qui justifierait la possibilité d'un contrôle par l'administration fiscale.