Monsieur Sirugue, vous ne pourrez pas faire le même reproche aux centristes. En commission des finances, nous avions trouvé un compromis avec le Gouvernement, mais la commission des affaires sociales de l'époque s'y était ensuite opposée. Je suis heureux de compter en votre personne un nouveau défenseur de la demi-part pour les veufs ; nous pourrions former une nouvelle majorité !
Nous partageons ce combat ; mais nous sommes également d'accord sur la question des retraités modestes qui pâtiront eux aussi du report de la revalorisation du 1er avril au 1er octobre. C'est pourquoi nous avons essayé de supprimer ce dispositif. Le souci du pouvoir d'achat des retraités modestes est fédérateur.