Je déplore l’occasion manquée, car nous pouvions donner aujourd’hui un exemple de bon sens. Or avec ces amendements de suppression et la position de la majorité sur ce texte d’intérêt général, celle-ci a offert une image de fermeture. J’espère que les territoires ruraux et de montagne s’en souviendront, non sans tristesse mais avec véhémence, pour les prochains rendez-vous.