C’est bien entendu tout à fait anecdotique.
Que nous prenions ce débat très au sérieux me semble normal, car il est intéressant. D’ailleurs, sans vouloir paraître ni sentencieux ni inconvenant, si j’ai bien compris les propos de M. Marcangeli, il s’agit de débattre non pas tant du service public que du service après-vente électoral : dont acte ! Il me semble tout à fait honorable d’essayer de faire adopter un texte qui s’appuie sur des promesses de campagne. Cela ayant été clairement explicité, il n’est pas nécessaire que nous y passions la nuit.