Mon directeur de campagne était M. Paqueron, un général de l'armée de l'air à la retraite. Ma campagne ne pouvait pas fonctionner : la lançant mi-mai, je ne pouvais pas gagner aux élections de juin – même si mon score au premier tour ne s'est pas révélé mauvais. Je faisais campagne sur d'autres thématiques, et cet élément qui prend aujourd'hui une grande importance n'en avait pas pour moi à cette époque. Je considérais l'affaire terminée.