Jusqu'en 2008-2009, notre usine présentait les taux de fréquence et de gravité les plus élevés de la branche caoutchouc. On disait à l'hôpital que nos blessés venaient de la « boucherie ». Ces dernières années, les accidents sont devenus moins nombreux, d'abord parce que l'usine s'est trouvée moins chargée, mais également parce que la direction a fait quelques aménagements pour éviter de se voir accuser de faire courir un danger grave et imminent au personnel de l'usine. Le bilan social de 2012 mentionne un taux d'accidents de 119 en 2010, 102 en 2011 et 137 en 2012. Quant au taux de gravité, il s'élève à 5,3 en 2010 et à 5,36 en 2011 ; le calcul manque pour 2012.