Encore une fois, les questions posées par la DGFiP n'ont pas gêné le déroulement de l'enquête préliminaire. Ce qui est gênant, c'est d'être questionné par des journalistes qui sont en possession d'informations qui donnent à penser que des demandes ont été faites et que des réponses vont arriver : si elle répond, l'autorité judiciaire peut se trouver en porte-à-faux. J'ai donc totalement refusé de répondre à ces questions.
Il y a eu, vous avez raison, un déchaînement médiatique : je vous avoue qu'en lisant le Journal du Dimanche, j'ai eu quelques doutes ! Nous sommes des gens responsables, nous imaginons bien les conséquences politiques, le tohu-bohu qui peuvent résulter de telles affaires. Mais je savais ma démarche sérieuse.