Je connais cet effet de prétoire, pour déconcerter le jury. Je l'ai dit dès le début, les échanges entre le parquet général et la DACG sont fréquents et réguliers. Nous travaillons d'ailleurs depuis plusieurs mois pour les réduire, parce qu'ils prennent beaucoup de temps aux procureurs généraux et aux procureurs. Puisque nous ne donnons pas d'instructions individuelles, il y a beaucoup d'informations dont nous n'avons pas besoin, ou dont nous n'avons besoin qu'à la fin. Mon cabinet peut facilement vous prouver ce qui a changé dans les rapports entre le procureur et la DACG, entre la DACG et mon cabinet, et entre mon cabinet et moi.