En 2008, nous avons indiqué à la direction que l'accord ne respectait pas certains points de la convention collective du caoutchouc. Le DRH de l'époque nous a alors indiqué que, à défaut de signature, les deux usines seraient fermées. Le jugement a bien indiqué que la convention collective n'était pas respectée au regard du travail en continu. Nous avons demandé à la direction de revoir sa copie, et l'accord a été renégocié. Je rappelle qu'à l'époque, la CFTC n'était pas majoritaire à Dunlop – c'était la CGT, qui a signé l'accord avec nous.