Les débats sur la bonne formulation de la question à poser à la banque ont en effet agité la presse et, peut-être, l'hémicycle. Pour ma part, je ne suis pas spécialiste de droit bancaire suisse. Comme je l'ai indiqué précédemment de manière très spontanée, le ministre délégué a en effet évoqué avec moi les conseils que lui donnaient ses avocats sur ce point. Nous avons discuté ensemble de la meilleure manière de procéder.