Ce qui trouble notre rapporteur est que vous ne défendiez pas, l'un puis l'autre, votre direction, qui est accusée dans la presse d'avoir possédé une information à laquelle il n'aurait pas été donné de suite. Pourquoi n'avez-vous pas publié un démenti pour dire : « Tout cela est inexact, pour la simple raison que M. Picart n'était pas chef du bureau en question en 2008. Nous avons effectué des recherches dans le service. Il n'y a aucune note de ce type. Ces informations sont fausses. » ? Vous auriez pu aussi adresser une note à votre ministre de tutelle pour dire la même chose. Il est curieux que votre service se trouvant mis en cause, le cabinet, ou le ministre directement, ne vous l'ait pas demandé ou que vous n'en ayez pas pris l'initiative.