Intervention de Charles de Courson

Réunion du 28 mai 2013 à 16h15
Commission d'enquête relative aux éventuels dysfonctionnements dans l'action du gouvernement et des services de l'État, entre le 4 décembre 2012 et le 2 avril 2013, dans la gestion d'une affaire qui a conduit à la démission d'un membre du gouvernement

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaCharles de Courson, président :

Alors qu'une partie du dossier a été envoyée à la DIRCOFI du Sud-Ouest, vraisemblablement à la suite des informations transmises à la BII, comment se fait-il qu'il ne soit pas remonté au service auquel est rattaché le domicile du contribuable, accompagné d'une fiche de liaison précisant que des vérifications ont eu lieu, mais n'ont rien donné, qu'il subsiste des doutes, ou que sais-je encore ? Un tel cloisonnement pose question.

Nous devrions cependant en savoir plus en auditionnant les fonctionnaires de la DIRCOFI Sud-Ouest – même si le directeur général de l'époque est hélas décédé.

Notre collègue a évoqué l'année 2001, où l'ancien maire de Villeneuve-sur-Lot aurait transmis l'information à la BII, et l'année 2008, celle de l'affaire Garnier. Pourquoi n'y a-t-il pas, dans le dossier du contribuable, c'est-à-dire dans un document unique, une synthèse de toutes ces accusations, fondées ou non ?

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