Après l'échec du complexe unique, un deuxième espoir a été offert aux ateliers. La majorité des salariés que je côtoyais alors considéraient que la mise en place d'un PDV était certainement une issue favorable, que ce soit pour ceux qui voulaient se reconvertir et exercer un autre métier, pour ceux qui, grâce à la reprise de l'activité agraire, acceptaient un transfert vers un atelier qui répondait à une demande commerciale, ou pour ceux qui, approchant de la fin de leur carrière, voyaient là une solution idéale pour attendre confortablement l'heure de la retraite, dans des conditions qui, aux dires de tous, n'avaient jamais été aussi intéressantes.