Il n'y a donc pas de différence entre les personnes bénéficiant de l'aide médicale d'État et les autres publics précaires.
Ce qui nous distingue – et nous avons eu cette discussion hier en commission lors de l'examen du PLFSS –, c'est qu'à nos yeux un acte qui concerne une personne précaire doit être rémunéré davantage que le même acte concernant une personne non précaire, parce qu'on sait bien que l'environnement social peut expliquer des complications médicales qui doivent pouvoir être rémunérées.