Michel Dheilly l'a souligné : comme les salariés refusent les mobilités au sein de l'atelier, on n'arrive pas à répartir la charge de travail de manière égalitaire. Dans certains départements, elle est donc beaucoup moins lourde que dans d'autres. Nos propositions de mettre les bonnes personnes aux bons postes afin d'équilibrer les charges de travail sont rarement acceptées, malgré une incitation financière. La définition des postes dans les contrats de travail nous empêche de parvenir à une répartition plus satisfaisante des tâches. C'est pourquoi, face à ce niveau d'activité – les chiffres ont été transmis, en toute transparence, au CHSCT et à l'inspection du travail –, nous essayons de développer au maximum les activités de formation pour occuper le temps libre des salariés.